Les amis(es) des animaux.....
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passion des animaux
 
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  Lexique

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LYLY
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MessageSujet: Lexique      Lexique Icon_minitimeLun 10 Jan - 23:54

AGRESSIVITÉ:   Lexique Index10

L'agressivité est une modalité du comportement des êtres vivants qui se reconnait à des actions
où la violence est dominante.Ce comportement est normal chez le chien et l'humain.C'est en fait l'excès d'agressivité qui pose problème,sinon c'est cette même agressivité qui donne la "gnac",
l'envie de concourir,d'être le meilleur...
En France,une agression est considérée comme délibérée par la loi n°6647 du 22 juillet 1996, Article
19.
"L' utilisation d'un animal pour tuer,blesser ou menacer est assimilée à l'usage d'une arme"
Lui-même complétant l'article 132-75 du code pénal. De plus l'article R623-3 du code pénal "punit l'excitation ou la non retenue d'un chien lorsqu'il attaque ou poursuit un passant".
Bien sur,cela est valable pour toutes les races de chiens,de garde ou non!!!!
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 0:00

ATTAQUE:

Action d'attaquer,d'engager un combat.Les législateurs français ont confondus ses dernières années,chiens de garde,chiens de combat,chiens de défense et attaques de chiens.Il y a alors été question de "chiens d'attaque" ce qui ne veut en fait rien dire.
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 0:07

CASTRATION:

Sachez que si vous castrez (castration chimique par implants ou chirurgicale) votre chien mâle,il n'en remplira pas moins bien ses "obligations" de gardiennage.
Idem pour une femelle.En revanche le mâle castré se laissera moins distraire par une chienne ou un chiffon imprégné de l'odeur d'une chienne en chaleur.La castration ne fait pas grossir,pour peu que vous fassiez attention à la ration de votre chien et que vous continuiez à lui proposer de l'exercice comme avant!!!
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 0:17

COURAGE:

Tempérament dont font preuve nombre de chiens dans des situations délicates ou nouvelles pour eux, ils osent affronter leur propre peur.

DISSUASION:

Ce que recherchent la plupart des particuliers à travers leur chien: faire peur sans avoir à gérer un chien trop dur.Beaucoup ne voudraient même pas qu'il passe à l'action.

GARDE:

Action de garder,de conserver,de défendre.Surveillance.Le plus souvent on confie aux chiens la garde d'objets ou de lieux (voitures,bureau,maison,entrepôt...)
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 0:33

LÉGITIME DÉFENSE:

C'est l'autorisation légale de faire cesser une agression contre soi-même ou autrui par des moyens en d'autres cas d'interdits.
Pour être reconnue comme tel,la loi (articles 122-5-6 et 7 du nouveau code pénal)
impose 4 conditions:
- qu'il y ait une agression,
- que cette agression ait été injuste,
- que l'agression et la défense aient été simultanées,
- que la défense ait été proportionnelle à la nature et à la gravité de l'agression.
Ainsi en cas d'agression en pleine rue par exemple, vous pouvez utiliser votre chien pour vous défendre.
Mais attention, il vous appartiendra de prouver que la menace était réelle et que le danger était"grave" et "imminent". Sans ça cela pourrait bien être vous l'accusé.

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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 1:00

MORDANT:

On peut considérer que des que le chien prend quelque chose dans sa gueule il mord.
La morsure a des conséquences plus ou moins importantes: simple bleu,trou,lacération qui peuvent nécessiter la pose d'agrafes, des points de sutures ou opération.
Mais d'un bout à l'autre,on parle de morsure. Lorsqu'il s'agit de leur chien, les gens préfèrent souvent des synonymes: pincement, "gnacké", chopé,attrapé, tout est bon pour ne pas prononcer le mot terrible: morsure! Le terme "mordant" est aussi devenu une façon simple de parler des sports canins comprenant une part d'exercices de mordant: ring, campagne, RCI, mondioring...

PROTECTION/INTERVENTION:

Deux termes faisant penser au vocable des sociétés de gardiennage ou se rapportant pour le premier au travail des chiens protégeant les troupeaux.

RESPONSABILITÉS DU PROPRIÉTAIRE DE CHIEN DE GARDE:

Lorsque l'on possède un chien, il faut s'assurer qu'il ne peut causer de torts à quiconque.
Il faut s'assurer qu'il ne peut causer de torts à quiconque. Il en va de même avec un chien de garde.Si vous jugez que votre chien peut s'avérer dangereux, vous devrez tout mettre en œuvre pour que personne ne puisse l'approcher. Sans cela, vous pourriez être responsable en cas d'agression.
Pensez donc à clôturer correctement votre propriété et à avertir les gens par des panneaux "CHIEN DE GARDE"
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:48

Pourquoi les animaux nous touchent

Pendant longtemps, les animaux n’étaient considérés qu’en fonction de leur utilité. Aujourd’hui, ils suscitent en nous d’authentiques émotions et font parfois même partie de la famille. Qu’est-ce qui nous attire vers eux ? Un vide affectif ? Une misanthropie galopante ? Ou est-ce une nouvelle façon d’envisager les êtres et les choses ?

Vêtue d’une jolie robe à carreaux, Fanny sait donner la patte. Hélène, sa maîtresse, est très fière d’elle. Fanny n’est ni un toutou, ni un matou, mais un iguane : un gros lézard qui, a priori, n’a rien de touchant. Toute créature à poil ou à plume capable de nous autoriser à croire qu’une relation affective est possible peut devenir notre animal de compagnie. C’est le désir d’un amour inconditionnel qui nous pousse vers les animaux. Le pire des crétins est idolâtré par son chien, qui lui reste fidèle et ne le juge pas, même quand il tire trop brutalement sur sa laisse ou le rudoie.

Selon une hypothèse en vogue chez les anthropologues, nous serions génétiquement programmés pour être émus par les créatures dotées d’yeux ronds, qui poussent des petits cris et paraissent vulnérables comme nos bébés humains. De là, la tendance marquée à fondre devant les chiots et les chatons. Et le réflexe de parler « bébé » avec nos compagnons à quatre pattes. « Où l’est le gros “ouah-ouah”, le gentil toutou, le mignon minou ? » Selon Dominique Guillo, sociologue et anthropologue, auteur de Des chiens et des humains (Ed. Le Pommier, 2009), cette habitude, à première vue très régressive, est plus rationnelle qu’il y paraît : elle tient à ce que nous savons de la compréhension très limitée de nos compagnons. Sans oublier que « l’animal semble adorer ça ».

Une transmission familiale et culturelle

Pourtant, en voyageant dans d’autres pays, nous verrons fréquemment des gamins et des adultes maltraiter des animaux sans défense ou décréter qu’ils sont sales, impurs. Nos émotions sont aussi le produit d’un apprentissage, d’une transmission familiale, culturelle. Peut-être faut-il avoir appris que les chatons sont mignons pour avoir envie de les câliner. D’ailleurs, des siècles de philosophie classique nous ont appris à opposer l’homme à l’animal, être inférieur, machine insensible. « Non, je ne devrais pas être aussi touchée par les animaux, par leur fragilité, je ne peux pas supporter l’idée qu’on leur fasse du mal. Ce n’est pas normal », s’inquiète Marie-Laure. « Parfois, effectivement, une sensibilité débordante vis-à-vis d’eux vient compenser une incapacité à se laisser aller avec les humains, explique le psychanalyste Gérard Morel. Mais il n’y a pas forcément erreur dans l’émotion extrême face à l’animal. » En sa présence, en effet, nous produisons de l’ocytocine, l’hormone de l’attachement, facteur de bien-être, sécrétée dès que nous sommes entourés de gens de confiance.

Selon Dominique Guillo, la thèse selon laquelle l’animal ne serait qu’un substitut, un doudou vivant pour échapper à la solitude ou réparer l’absence d’enfant, est démentie par la réalité : « C’est surtout dans des familles que vivent les animaux de compagnie. Des gens qui ont beaucoup d’amis et une vie professionnelle bien remplie en adoptent. » Et la relation avec l’animal peut parfaitement combler, jusqu’à un certain point, nos besoins de sociabilité. Dans des moments de déprime, de fragilité, elle peut même être préférée à l’échange avec nos semblables. Car face à Médor ou à Fifi , nous n’avons pas à préserver une bonne image de nous-mêmes, à faire des efforts.

Moins décevants que les gens

L’impératif moral selon lequel il faut s’occuper des humains avant de penser aux chiens dissuade d’avouer ses sentiments tendres pour le genre animal. Comme s’ils étaient volés aux humains… Or, une étude récente (In Pourquoi les gens ont-ils la même tête que leurs chiens de Serge Ciccotti et Nicolas Guéguen - Dunod 2010) montre que communiquer avec un animal développe nos capacités d’attention à nos semblables. Et effectivement, la plupart des grands humanistes (Montaigne, Gandhi, Hugo…) ont aussi été des défenseurs des animaux. Il est vrai que Brigitte Bardot s’est souvent fait remarquer par des comportements et des propos pas du tout empathiques s’agissant de ses semblables. Et les considérations misanthropes abondent dans les forums des défenseurs des animaux. « J’ai honte d’appartenir à l’espèce humaine » ; « Les humains devraient disparaître de la terre » ; « Les animaux ne sont ni cruels ni pervers, eux ». Simultanément, l’animal est auréolé de toutes les qualités : il est innocent, ne ment pas, ne triche pas, n’est pas cruel gratuitement, etc.

« En réalité, le misanthrope est souvent un humaniste déçu, décrypte Gérard Morel. Il en veut aux hommes de ne pas se montrer dignes de ses espoirs. De ne pas être aussi loyaux, fiables, en un mot, “humains”, qu’ils le devraient. » Et si certains d’entre nous sont plus émus par un oisillon tombé du nid que par un vieux monsieur qui fait un malaise en pleine rue, ce n’est pas par indifférence. Bien au contraire. « Le petit oiseau en détresse éveille aussitôt un réflexe de protection, affirme le psychanalyste. Tandis que l’homme en danger nous terrorise, il nous renvoie à l’angoisse de notre propre mort. Nous préférons donc regarder ailleurs. »

L’idée que, en cas d’incendie, on sauvera son chat ou son chien avant de risquer sa vie pour un humain inconnu ne choquerait probablement pas le philosophe Peter Singer, penseur de la « libération animale », auteur de L'égalité animale expliquée aux humains (Tahin Party 2007). Professeur de bioéthique à l’université Princeton, aux États-Unis, il est le promoteur de l’« antispécisme », une doctrine philosophico-juridique qui prône l’égalité de tous les êtres sensibles et combat l’idée de la supériorité naturelle de l’homme. Selon lui, nous devons prendre en compte les intérêts de l’animal – être bien traité, respecté, vivre en accord avec ses besoins physiologiques et psychologiques, ne pas être tué pour sa viande ou sa fourrure, ne pas être exploité –, car il est notre égal. En prenant quelque distance avec l’idée d’un Dieu ayant octroyé à l’homme tout pouvoir sur le reste de la création et en se rapprochant de Darwin – l’homme est tel qu’il est en raison des hasards de l’évolution –, les thèses de Peter Singer cessent de paraître aussi dérangeantes. Après tout, de quel droit massacrons- nous les autres espèces, les utilisons-nous comme des choses ?
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:49

Comment calmer un chien qui hurle sans cesse

Dès votre départ du domicile, c’est parti ? Les aboiements répétés et les hurlements plaintifs excèdent vos voisins qui menacent de porter plainte !

Ne laissez pas la situation se dégrader : un animal délaissé est en souffrance et votre voisinage risque d’en être affecté nerveusement. Si vous n’intervenez pas, vous risquez au mieux une amende de 3e classe (450 € au maximum) pour tapage et, au pire, une expulsion, si vous êtes locataire !

• Avant d’investir dans un collier anti-aboiements aux résultats aléatoires, mieux vaut savoir pourquoi votre chien aboie quand il se retrouve seul. Certains canidés restent d’éternels bébés, faute d’un sevrage bien fait. Ainsi, ces chiens considèrent leur maître comme leur mère et cet “hyperattachement” les conduit à un état de panique dès qu’ils sont séparés de lui, comme un chiot éloigné d’une chienne.

• Pour l’aider à “grandir” et le faire taire, la première règle est de l’ignorer une vingtaine de minutes avant de quitter le domicile ainsi qu’à votre retour, le temps qu’il “vous fasse la fête”. Votre indifférence apparente sera un signe fort, à condition de la répéter. Une autre solution consiste à faire sortir votre compagnon par une autre personne. Enfin, vous pouvez utiliser des phéromones apaisantes, prescrites par votre vétérinaire.

• Par ailleurs, beaucoup de chiens aboient plus que de mesure car ils veulent signifier qu’ils font la loi à la maison et ne supportent pas que leur maître s’en aille (sans leur permission) ou qu’un étranger passe devant la maison. Il y a aussi des animaux hyperactifs qui aboient pour un rien durant des heures. Dans ces deux cas, un avis vétérinaire est indispensable, car une thérapie comportementale doit être mise en place.
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:51


L'alimentation de votre chien : surveillez ses menus de fêtes !

Foie gras, saumon, chapon, chocolats… Que de tentations représentent Noël pour nos amis à quatre pattes ! L’erreur serait de vouloir leur faire partager nos repas festifs de fin d’année.

Bien nourrir son chien même à Noël : une question de santé vitale pour lui ! - C. Hochet - Rustica

Ce serait vraiment une grave erreur car tout changement alimentaire peut entraîner chez le chien des désordres digestifs. Les mets trop gras (foie, sauces…), mais aussi trop salés (poissons fumés, jambons…) ou alcoolisés le rendront à coup sûr malade. Dans le meilleur des cas (le plus courant), il s’en sortira avec une gastro-entérite bénigne nécessitant une diète de 24 h, un antivomitif (sur prescription médicale) et un pansement intestinal (type Smecta).
Si, par malheur, l’animal engloutit à votre insu le bloc de foie gras, la motte de beurre ou la bûche pâtissière, consultez vite votre vétérinaire car il risque une pancréatite sévère due à l’excès de gras. Pour éviter un réveillon aux urgences, mettez hors de portée de votre chien toute friandise et dessert chocolaté, le cacao étant un véritable poison mortel pour lui, même à petite dose (quelques carrés peuvent suffire).
Attention, enfin, aux branches de houx, de gui et d’if qui ornent joliment les tables : les animaux imprudents peuvent les mâchouiller par jeu, mais les feuilles et surtout les baies sont très toxiques ! Placez vos couronnes de Noël en hauteur.

Laetitia Barlerin, vétérinaire
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:52

https://i.servimg.com/u/f67/13/67/57/20/25189110.jpg

Les chiens, plus intelligents que les chats?

Les chiens seraient plus intelligents que les chats. C'est en tout cas ce qu'affirme une étude menée par des scientifiques de l'Université d'Oxford. Au cours de leurs recherches, les chercheurs ont comparé les cerveaux de plus de 500 espèces de mammifères sur une période de 60 millions d'années. «Cette étude prouve que, malgré ce que l'on a longtemps cru, la taille du cerveau n'a pas augmenté pour tous les animaux, explique la directrice des recherches, Susanne Shultz, au Télégraph. En fait, les cerveaux des espèces très sociables ont connu une croissance bien plus rapide que celle des espèces solitaires.»

La preuve avec les chiens. Comme les chiens demandent plus d'attention et sont très dépendants de leur maître, la croyance populaire les tient comme moins intelligents que les chats. Mais c'est justement parce que les chiens sont moins indépendants et plus sociables que les chats que leur cerveau a grossi davantage. «Ce qui laisse penser que la coopération et la coordination qu'implique de vivre en groupe peuvent être exigeantes. Avec le temps, certains mammifères ont développé des cerveaux plus gros afin d'être capable de gérer les exigences de la socialisation», remarque Susanne Shultz. Elle ajoute: «L'interaction sociale est bonne pour le cerveau. (...) Nous sommes encore plus sociables que les singes et c'est cette capacité de s'entendre avec les autres qui nous a permis de dominer le monde».

Comme les chats, plusieurs autres mammifères auraient un cerveau moins grand que les autres par manque de sociabilité: entre autres, le rhinocéros et le cerf, deux animaux appréciant aussi la solitude. Mais l'intelligence est-elle vraiment une question de taille du cerveau? Le site Gather News n'en est pas convaincu.

«Cette conclusion repose sur la supposition un peu légère qu'avoir un cerveau plus grand signifie être une espèce plus intelligente. Dans la réalité, ce n'est pas toujours le cas. L'évolution du cerveau est bien plus complexe qu'une question de taille –ce qui veut dire que le débat sur qui des chats et des chiens sont les plus intelligents a encore de belles années devant lui.»

En janvier 2010, le magazine New Scientist annonçait pourtant la fin du débat, en comparant «objectivement» toutous et minous dans onze catégories différentes, comme la taille du cerveau, la capacité de compréhension ou d'expression vocale. Une fois encore, c'était les chiens qui avaient gagné la palme du «meilleur animal de compagnie».
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:53

https://i.servimg.com/u/f28/10/08/90/33/180px-10.jpg


Son vrai nom est Gryfriars Bobby.

Ce chien fut le compagnon de John Gray, un policier écossais. Durant deux ans John et Bobby se rendaient à 13 heurs pile, heure donné par des coups de canon, dans un restaurant de quartier et Bobby avait droit à un os et une brioche.

John meurt. Le jour de l'enterrement Bobby est en tête du cortège et il y reste jusqu'à l'arrivée au cimetière. Puis il disparaît. Le lendemain le gardien du cimetière trouve le chien, un skye terrier, sur la tombe de son maître. Il le chasse, mais le chien revient. Il le chasse encore et le chien revient. Devant une telle fidélité, le gardien obtient de la mairie une dérogation pour que Bobby puisse passer ses nuits au cimetière sur la tombe de son maître.

Poussé par la faim, Bobby sort du cimetière et se rend au restaurant où il allait avec son maître ; le patron le reconnaît et lui donne à manger. Tous les jours le chien fit cet aller-retour cimetière restaurant. Un jour le chien suivit un militaire qui allait tous les jours donner le coup de canon et ensuite allait dans le même restaurant que l'ancien maître de Bobby. Ils mangeaient ensemble, puis ils se séparaient car le chien continuait à passer ses jours et ses nuits sur la tombe de son maître.
Des gens voulurent adopter Bobby, sans succès.

Ce n'est qu'à la toute dernière année de sa vie qu'il consentit à dormir chez les propriétaires du restaurant où il mangeait.

Bobby est mort à l'âge de 16 ans. ( 1856 / 1872 )

Pendant 14 ans Bobby vécut sur la tombe de John Gray son seul et unique maître.

A côté du cimetière, on fit construire une fontaine surmontée de la statue de Bobby grandeur nature.

A Edimbourg, le Hunthly Museum conserve des photos de Bobby ainsi que quelques objets comme son collier.

Bobby Greyfriars est le chien national des Ecossais qui en ont fait bien sûr le symbole de la fidélité.

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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitimeSam 12 Fév - 21:35

bravo
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MessageSujet: Re: Lexique      Lexique Icon_minitime

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